
Haut-Uélé : le Gouverneur Jean Bakomito Gambu, un leader bâtisseur avec des réalisations palpables

Paradoxalement aux accusations incendiaires colportées par certains esprits malveillants, la gestion de la province du Haut-Uélé par le gouverneur Jean Bakomito Gambu ne saurait être réduite à une caricature clanique ou à un roman de corruption. Ce type de réquisitoire à charge, truffé d’allégations non vérifiées et de procès d’intention, reflète une volonté manifeste de saboter les avancées réelles enregistrées depuis l’entrée en fonction de l’actuel gouverneur. Il convient de rétablir les faits avec rigueur, sans passion ni complaisance.
Depuis sa prise de fonction, Jean Bakomito Gambu a engagé le Haut-Uélé sur la voie d’un redressement progressif mais surtout structuré. Les chantiers sont nombreux et complexes dans une province jadis privée de moyens structurels. Néanmoins, l’action publique n’a jamais cessé : réhabilitation des routes prioritaires en occurrence certains axes sur la RN25, la RN26 et des routes des dessertes agricoles, construction et réhabilitation des plusieurs infrastructures de base, création d’un cadre de concertation entre autorités locales et opérateurs miniers, reconnaissance des autorités coutumières par le pouvoir central, mise en place d’un embryon de politique de décentralisation effective dans plusieurs territoires,…
Loin des accusations de gestion clanique, c’est avec méthode que le gouverneur a placé des profils compétents aux postes stratégiques , parfois issus de son entourage, certes, mais nullement en contradiction avec les procédures légales de nomination. La proximité familiale ne saurait constituer en soi un crime, surtout lorsque les résultats sont mesurables.
Il est faux et irresponsable de prétendre que le Gouverneur ferme les yeux sur les abus miniers. Plusieurs opérations conjointes ont été menées pour démanteler des sites illégaux, notamment dans les zones de Watsa et Wamba . Des permis douteux ont été annulés, et des protocoles d’accord ont été revus pour garantir la redevabilité des entreprises extractives.
Malgré une baisse de recettes propres dûe à l’effondrement de certaines infrastructures des transports et la quasi absence de la rétrocession, des efforts colossaux ont été consentis dans tous les secteurs. Et d’ailleurs, un audit interne du budget provincial, confié à une mission indépendante a été instauré. Le rapport intermédiaire, remis en mars 2025, souligne des améliorations notables en matière de gestion des finances publiques, notamment sur la traçabilité des recettes minières et douanières.
Les critiques virulentes contre le Gouverneur relèvent davantage d’un règlement de comptes politique que d’un diagnostic honnête. À ceux qui parlent de ferme familiale, il faut opposer les chiffres, les chantiers et les efforts de développement mis en œuvre dans moins d’une année.
Jean Bakomito Gambu ne dirige pas une dynastie ; il gouverne une province, et il le fait avec audace, continuité et résilience que nécessite le Haut-Uélé. L’histoire retiendra non les pamphlets anonymes et diffamatoires, mais les actions concrètes et les progrès malgré les vents contraires.
Cellule de Communication/ Gouvernorat Haut-Uele
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