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Watsa / Dossier 0,3 % Kibali : quand la vérité est déformée pour nuire à Mambidi Koloboro

img-20251003-wa0077801803670189754633-1024x683 Watsa / Dossier 0,3 % Kibali : quand la vérité est déformée pour nuire à Mambidi Koloboro

Depuis quelques jours, un message circule sur les réseaux sociaux accusant le député national Jean-Marc Mambidi Koloboro de « sacrifier l’intérêt communautaire sur l’autel du favoritisme familial » dans le dossier de la dotation de 0,3 % de Kibali Gold Mines. Ces accusations, aussi graves que légères, appellent une mise au point claire et responsable.

Une lettre mal interprétée

Loin d’un prétendu lobbying familial, la lettre adressée au Ministre des Mines en date du 10 juin 2025 avait un seul objectif : tirer la sonnette d’alarme sur le blocage administratif qui paralysait les projets communautaires en cours d’exécution.

En effet, à la suite de la suspension de l’intérimaire qui dirigeait le Comité local de gestion de la dotation, aucun dispositif transitoire n’avait été mis en place. Ce vide administratif a entraîné :

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– l’arrêt de plusieurs projets communautaires,

– des retards considérables dans les activités agricoles,

– un risque élevé de pertes définitives sur les investissements, notamment à l’approche de la fin de la saison culturale.

Le plaidoyer de Mambidi Koloboro visait donc à éviter l’échec d’initiatives vitales pour les communautés locales, et non à imposer qui que ce soit à la tête de la structure.

Aucune mention de favoritisme familial

Contrairement aux allégations qui circulent, la lettre en question ne cite aucun nom et ne fait référence à aucune personne de sa famille.
Elle appelle plutôt à deux mesures urgentes et objectives :

1. La levée de la suspension de l’intérim, afin d’éviter un blocage total des projets ;

2. La mise en place rapide d’une nouvelle équipe de gestion de la dotation, conformément aux attentes de la communauté et dans le strict respect de la légalité.

Où est donc le favoritisme ? Où est l’agenda caché ?
Les faits démontrent que ce procès d’intention ne repose sur aucune base réelle.

La responsabilité d’un élu

Il est du devoir d’un député national de défendre les intérêts de ses électeurs et de veiller à ce que les fonds communautaires servent effectivement au développement local.
En alertant le Ministre des Mines, Jean-Marc Mambidi Koloboro a pleinement assumé son rôle de représentant du peuple, conscient que le silence face à un blocage administratif équivaut à une complicité dans l’échec des projets communautaires.

Le réduire à des attaques personnelles ou familiales relève d’une tentative de discrédit sans fondement.

Ce que veut réellement la communauté

La population de Watsa et Faradje aspire avant tout à la continuité des projets communautaires, à la transparence et à la bonne gestion de la dotation de 0,3 %.
Elle attend du gouvernement la publication de l’arrêté interministériel Mines et Affaires sociales, qui permettra d’installer définitivement la nouvelle équipe.
C’est sur ce terrain que le débat doit se concentrer — et non dans des querelles de personnes.

Accuser gratuitement un élu d’user de son mandat pour des intérêts familiaux, sans preuve tangible, revient à salir une fonction qui mérite respect.
Jean-Marc Mambidi Koloboro n’a fait qu’exercer son devoir de vigilance et d’interpellation.

Mise en garde

Les élus de la République ont une mission noble : représenter la population, défendre ses intérêts et veiller au respect du bien commun.
Les accuser sans preuves, par simple calcul politique ou par manipulation, revient non seulement à ternir leur honneur, mais aussi à affaiblir la confiance du peuple dans les institutions démocratiques.

De telles pratiques doivent cesser. La diffamation et la désinformation ne construisent pas une société : elles divisent, détruisent et détournent les communautés de l’essentiel — leur développement.
Toute critique constructive est la bienvenue, mais les accusations mensongères et infondées ne sauraient être tolérées.

Et si l’auteur de ces attaques persistait à salir le nom de Jean-Marc Mambidi Koloboro, il s’exposerait à des poursuites judiciaires pour diffamation, car nul n’a le droit de ternir impunément la réputation d’un élu investi d’une mission républicaine.

En conclusion

La communauté mérite mieux que des polémiques stériles.
Elle mérite des solutions concrètes, une gestion transparente et une continuité dans les projets.
C’est ce combat que mène Jean-Marc Mambidi Koloboro, député national du territoire de Watsa.

Cellule de Communication

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