
Hommage aux enseignants : le notable Benjamin Tauli salue le courage et le sacrifice du corps enseignant en RDC

À l’occasion de la journée du 30 Avril de chaque année dédiée aux enseignants, le notable Benjamin Tauli a tenu à exprimer publiquement ses vœux les plus sincères et ses profonds éloges à l’endroit de tous les enseignants de la République Démocratique du Congo, avec une attention particulière pour ceux du territoire de Watsa, dans la province du Haut-Uele.
Dans une déclaration empreinte d’émotion et de reconnaissance, il a salué le dévouement de ces femmes et hommes qui, souvent dans l’ombre, œuvrent sans relâche pour former les générations futures malgré des conditions de travail extrêmement précaires. « En tant que fille digne d’une enseignante, je connais les misères et les conditions de vie difficiles que traversent les enseignants pour exercer leur noble métier », a-t-il rappelé, soulignant l’ampleur du sacrifice quotidien que ce métier implique.
Selon le notable Benjamin Tauli, enseigner en RDC et particulièrement à Watsa,elève d’un véritable acte de foi.
« Si ce n’était pas une vocation, honnêtement, ces enseignants qui se battent jour et nuit n’auraient pas pu continuer à former, à enseigner et à faire de nous ce que nous sommes aujourd’hui. » Il rend ainsi hommage à leur constance, leur patience et leur engagement envers l’éducation, pilier fondamental du développement national.
Il a également tenu à rappeler l’impact profond que les enseignants ont sur la société :
« Si je m’exprime bien aujourd’hui, si j’écris bien, c’est grâce à eux. Car ce sont eux qui nous ont appris, enseigné depuis l’enfance jusqu’à aujourd’hui, et nous continuons encore à bénéficier de leur savoir. » Ce témoignage personnel illustre la portée inestimable de l’éducation dans la construction individuelle et collective.
Dans ce contexte, le notable a profité de cette journée pour adresser un message d’encouragement à tous les enseignants de la RDC, tout en renouvelant son appel à une meilleure reconnaissance de leur rôle et de leurs droits. Il conclut avec des mots porteurs d’espoir :
« Que vive l’enseignement, que vivent les enseignants, et que vive le sacrifice qu’ils font pour l’avenir de notre pays !»
Un message fort, qui sonne comme un rappel : sans les enseignants, il n’y a ni avenir, ni progrès durable.
César Dedebha Fils
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